
L'histoire : Un jour d'ennui profond, Ryuk, un shinigami (= dieu de la mort) lâche son cahier sur Terre pour voir comment un humain s'en servirait, et surtout pour s'amuser un peu. Comme vous vous en doutez, il ne s'agit pas d'un cahier banal.. en effet, lorsque vous écrivez le vrai nom d'une personne dans ce Death Note, en ayant son visage en tête, et sans préciser de cause, celle-ci meurt d'une crise cardiaque 40 secondes après.
Light Yagami, brillant étudiant de 17 ans trouve un jour ce cahier et le teste sans y croire, jusqu'à ce qu'il se rende compte que cela fonctionne. Il décide alors de rayer de la carte tous les criminels dont il entend parler. Il veut devenir le dieu de ce nouveau monde qu'il essaye de créer. Mais la police s'interroge bientôt sur toutes ses morts suspectes et envoie L, un célèbre détective que personne n'a jamais vu, mais qui n'a jamais laissé une enquête irrésolue.
Light, sous le pseudonyme que les gens lui donne : Kira (=Killer = tueur) devient un justicier pour beaucoup de gens, mais personne ne sait qui il est réellement.
Ainsi s'engage un combat anonyme entre L et Kira, alors que Light fait semblant de pourchasser Kira aux côtés de L, à qui il a put se joindre grâce à son père, qui enquête aussi sur Kira de part son métier.
Une histoire vraiment bien menée, avec un combat de logique et de réflexion que mènent Light et L pour démasquer Kira. Ça change des autres mangas que j'ai pu lire (mais bon c'était essentiellement du shojo, donc c'est normal)
J'aime beaucoup le style, certains personnages étaient très intéressants, y compris les dieux de la mort qui ne sont pas en reste puisque celui qui "perd" son cahier apparait à l'humain qui l'a en possession au bout de quelques jours, donc on le découvre rapidement. Des personnages atypiques et vraiment intéressants (pour la plupart) et une histoire qui intrigue.
Après, au bout d'un moment, j'ai commencé que ça tournait un peu en rond, et je me serai volontiers passée des derniers tomes.
Death note est un manga de Takeshi Obata et Tsugumi Ohba en 12 volumes (plus un 13e de bonus) sorti entre 2003 et 2006 aux éditions Kana.